Évitez les mots suspects
Pas de "GRATUIT !!!", "Urgent", ou "Cliquez maintenant". Les filtres raffolent de ces termes. II faut alors garder un œil sur son copywritting car la liste de ces mots spams évoluent avec le temps. Ah et oui, il y a des filtres qui se créent pour filtrer les textes rédiger par l’IA.
Nettoyez régulièrement votre liste d’e-mails
Supprimez les adresses inactives, rebondies (bounces) ou invalides.
Utilisez des outils comme NeverBounce ou Bouncer pour vérifier vos listes.
N’achetez jamais de bases d’e-mails : c’est la route express vers le spam car on ne peut savoir quand elles ont été constituer. Et encore une base se dégrade à hauteur de 30% par an.
Pourquoi c’est important ? C’est pour ne pas avoir un comportement de bourrin qui se fait détecter assez vite.
Envoyez progressivement
Ne balancez pas 5k e-mails d’un coup. Oui, il n’y a pas photo c’est suspect même si on veut voir les fruits de notre dur labeur immédiatement.
Authentifiez votre domaine (DKIM, SPF, DMARC)
Configurez vos enregistrements DNS :
- SPF : Limite qui peut envoyer des e-mails au nom de votre domaine.
- DKIM : Ajoute une signature numérique pour valider vos e-mails.
- DMARC : Indique aux fournisseurs comment gérer les e-mails suspects.
C’est technique mais crucial : passez par votre hébergeur ou un pro pour le faire.
Utilisez un domaine d’envoi propre
Évitez les adresses génériques (Gmail, Yahoo). Préférez une adresse pro avec un domaine authentifié. Mais aussi, si votre adresse est grillée, vous pouvez vérifier la réputation de votre domaine avec des outils comme SenderScore. Dans le cas ou ça passe pas… il faudra jouer au docteur pour ranimer la réputation de votre domaine.
Offrez une option de désinscription claire.
Obligatoire, et ça montre que vous jouez selon les règles.
Le plus basique mais le plus important,
Envoyez vous des emails tests afin de chopper toute les coquilles et identifier tout problème qui pourrait surgir.